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Faisons nôtres l’expérience de mère Teresa qui a vécu la radicalité d’une vie donnée aux autres, et notamment aux plus faibles, aux laissés-pour-compte.
Mère Teresa incarne
cette « révolution de la tendresse » voulue par le pape. La
bienheureuse de Calcutta (1910-1997) a consacré sa vie
pendant plus de 40 ans aux malades, aux laissés pour compte et
aux mourants, d'abord en Inde puis dans
d'autres pays. Elle figure déjà à l’agenda officiel du Jubilé pour le
4 septembre prochain, date où aura lieu à Rome sa canonisation.
Mère Teresa quitte sa
congrégation, les sœurs de Lorette en 1948. Deux ans plus tard, elle fonde sa
propre congrégation : les missionnaires de la Charité. Elle
adopte l’habit du sari comme habit religieux pour se fondre parmi les
populations indiennes. Rapidement, elle décide
de s'occuper des mourants et demande un lieu à la mairie de Calcutta, qui lui
offre un local proche d'un temple hindou. Elle l'appelle la « Maison
au cœur pur - Foyer pour mourants abandonnés ». Les sœurs amènent les
mourants les plus pauvres et abandonnés et les soignent avec des moyens
rudimentaires, puis elle ouvre un nouveau centre en 1952. C’est un hospice
gratuit pour les pauvres, alors même que les Missionnaires de la
Charité n'ont pas encore de couvent et qu'elles ont à peine commencé leur
formation. Dès sa fondation, l'hospice affiche complet. « Dans les
bidonvilles, Jésus choisit comme déguisement la misère et la pauvreté de nos
gens des bidonvilles. Vous ne pouvez pas respecter le vœu de charité si vous
n’avez pas la foi nécessaire pour voir Jésus dans les gens avec lesquels nous
entrons en contact. Autrement, notre travail n’est rien de plus que du travail
social. » (Mère Teresa, Quand l’amour est là, Dieu est là, 2011)
Faisons nôtres l’expérience de mère Teresa qui a vécu la radicalité d’une vie donnée aux autres, et notamment aux plus faibles, aux laissés-pour-compte.
Questions pour un temps de méditation
et/ou d’échange. Est-ce que je suis attentif aux différentes formes de misère que je
peux croiser dans ma vie (famille, études, société) ? Comment je
réagis ? Qu’est-ce que je ressens ? Comment l’Evangile et le Christ
me traversent-ils / me travaillent-ils lors de toutes ces rencontres ?
Signe d’une
popularité qui ne se dément pas, le jury de la BD chrétienne d’Angoulême a
primé le 16 décembre 2015 une bande dessinée biographique sur elle, illustré
par l’Indien Sachin Nagar.
Jesus is my life (prière de mère Teresa)
Jesus is the Word
– to be spoken.
Jesus is the Truth
– to be told.
Jesus is the Way –
to be walked.
Jesus is the Light
– to be lit.
Jesus is the Life
– to be lived.
Jesus is the Love
– to be loved.
Jesus is the Joy –
to be shared.
Jesus is the
Sacrifice – to be offered.
Jesus is the Peace
– to be given.
Jesus is the Bread
of Life – to be eaten.
Jesus is the
Hungry – to be fed.
Jesus is the Thirsty
– to be satiated.
Jesus is the Naked
– to be clothed.
Jesus is the
Homeless – to be taken in.
Jesus is the Sick
– to be healed.
Jesus is the
Lonely – to be loved.
Jesus is the
Unwanted – to be wanted.
Jesus is the Leper
– to wash his wounds.
Jesus is the
Beggar – to give him a smile.
Jesus is the
Drunkard – to listen to him.
Jesus is the
Retarded – to protect him.
Jesus is the
Little One – to embrace him.
Jesus is the Blind
– to lead him.
Jesus is the Dumb
– to speak for him.
Jesus is the
Crippled – to walk with him.
Jesus is the Drug
addict – to befriend him.
Jesus is the
Prostitute – to remove from danger and befriend.
Jesus is the
Prisoner – to be visited.
Jesus is the Old –
to be served.
To me –
Jesus is my God.
Jesus is my
Spouse.
Jesus is my Life.
Jesus is my only
Love.
Jesus is my All in
All.
Jesus is my Everything.
Et en musique,
s’il-vous-plaît ! https://www.youtube.com/watch?v=pD6k1LGpc1Y
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